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Un écrivain évoque son enfance et c’est un monde englouti qu’il ressuscite : celui des années 80, de la génération Casimir ou Goldorak. Ici la nostalgie a un goût de barbe à papa. Et les ciels de Lorraine, la couleur cuivrée des mirabelles...
Les médias en parlent :
« Olivier Larizza est un magicien au talent certain. »
Zeitung vum Lëtzebuerger Vollek
« Le texte roule et caracole. Avec pudeur, saupoudré de quelques bijoux qui donnent corps et âme à sa galerie de portrait familial où se retrouveront tout un tas de lecteurs. Et pas seulement les trentenaires. Comme nul autre pareil, Olivier Larizza tricote ses mots et ose la littérature autour de l'emblème de sa jeunesse. »
Le Républicain Lorrain
« Ce livre est davantage qu'une biscotte ou qu'une madeleine, comme le définit son auteur. Il a la couleur mirabelle. Et sa franche saveur. »
Les Dernières Nouvelles d'Alsace, Bernard Delattre
« Ce petit ouvrage ressemble un peu à La Première gorgée de bière de Philippe Delerm. On y retrouve des petits bonheurs, le goût pour l'instant, le détail, les sucreries (Carambar ou fraises Tagada), une nostalgie tendre, bienfaisante et apaisante. On osera même penser à une Recherche du temps perdu, évidemment moins majestueuse et fascinante que celle de Proust, mais plus accessible, comme mise à la portée de tout lecteur. »
Élan, Emmanuelle Anfossi
« Voilà un auteur comme on les aime. Un auteur qui regorge de talent. L'homme est discret, prolifique. Un style bien à lui assure son succès, mêlant ironie et dérision légère. Un auteur que l'on prend simplement plaisir à lire pour la qualité de sa prose et la dynamique de sa pensée. »
France-Antilles Magazine, Rodolf Etienne
« Nous ne sommes, finalement, pas si loin du conte que l'auteur côtoie avec succès depuis longtemps. »
Revue Alsacienne de Littérature, Laurent Bayart |
